Le jardin, pour la plupart d’entre nous, évoque une forme d’apaisement, de calme et de sérénité. Dans un monde où la vitesse est reine, le jardin nous oblige à ralentir, à revenir aux cycles naturels, lents et longs. Les arbres sont nés avant nous et nous survivront. Les plantations méritent attention et patience, de se recentrer sur le temps long et non plus d’exiger l’instantané. Le jardin devient en lui-même une thérapie. C’est pour cela qu’il ne faut jamais cesser de le penser.
Pour découvrir cet article, rendez-vous sur La Philosophie.