Le syndicalisme agricole, tout autant que le syndicalisme dans son ensemble et que d’autres organisations qui s’appuient sur l’engagement pour fonctionner et exister, subit de plein fouet les mutations de la vie citoyenne et civique des Français. La crise de l’engagement n’existe pas. Il suffit de prendre en considération les résultats des études menées par « Recherches & Solidarités » ou celles de l’Insee. En revanche, non seulement l’engagement mute, mais c’est une crise de la présence à laquelle sont confrontés les partis, les syndicats et les associations, en tant qu’organisations traditionnellement associées à l’engagement.
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